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Une Mission à Saltillo

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4 septembre 2006

test 2

Les obsèques du Père Marie-Dominique Philippe ont été célébrées le samedi 2 septembre 2006 à 10h30 à la Primatiale Saint Jean de Lyon. Elles étaient présidées par le cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon. Ont participé à la célébration une dizaine d'évêques (dont Mgr Fortunato Baldelli, nonce apostolique en France), trois père abbés, 230 prêtres (dont 100 de la Communauté Saint Jean), 500 frères et soeurs de la Communauté Saint Jean, plusieurs centaines d'oblats séculiers de la Communauté, des religieux et religieuses de diverses congrégations (notamment de l'Ordre de Saint Dominique) et de nombreuses autres personnes, membres de la famille ou amis du P. Philippe. Le nombre total de participants a été estimé à 2.500 personnes. La cérémonie a été retransmise en direct par KTO.

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4 septembre 2006

Test

Voila, c'est mon premier blog_0019_papaye_afp.

L'événement déclencheur du mouvement indépendantiste créole fut la conquête et l'occupation française de l'Espagne, au début du XIXe  siècle par les troupes de Napoléon, mais l'avènement des idées libérales, en Espagne même, n'y est pas étrangère. Dans plusieurs régions d'Amérique latine, des révoltes indépendantistes éclatent. Le Mexique ne fait pas exception. Les premières tentatives séparatistes de la Nouvelle Espagne correspondent à la «conspiration de la Profesa» (ainsi nommée d'après le temple dans lequel les conspirateurs se réunissaient pour boire du chocolat et pour de soi-disant réunions littéraires, afin d'occulter leurs intentions réelles) dans la ville de Mexico. Ce groupe peut compter sur la sympathie du vice-roi Iturrigaray, mais le mouvement anti-indépendantiste veille et fait destituer le Vice-roi. Les tenants de l'Espagne, commerçants pour la plupart font nommer un vice-roi, sénile, à leur solde, Pedro de Garibay qui signe des mandats d'arrestation concernant quiconque est soupçonné d'idées indépendantistes.

Il faut attendre le 16 septembre 1810 pour que, par son Grito de Dolores, Miguel Hidalgo fasse se lever le peuple du Mexique contre la domination espagnole. Il est suivi par la population et commence avec succès la conquête des villes. Alors que Mexico est à sa portée, sans défense, le 30 octobre 1810, pour une raison mystérieuse, il renonce à sa capture et ordonne la retraite vers Valladolid. Il sera plus tard capturé et exécuté le 30 juillet 1811. Mais le mouvement est lancé et d'autres comme José María Morelos, Vicente Guerrero, Guadalupe Victoria ou Agustín de Iturbide prennent la relève. Dans cette lutte, certains sont sincères et se battent pour un idéal, comme La Corregidora que les mexicains vénèrent encore à ce jour, d'autres simplement ambitieux ou opportunistes comme Agustín de Iturbide. Ils n'en arrivent pas moins à leurs fins, le 28 septembre 1821, le vice-roi de Nouvelle-Espagne, Juan O'Donojú signe l'Acte d'indépendance du Mexique.

Le 21 juillet 1822, Agustín de Iturbide se fait couronner Augustin Ier, empereur constitutionnel du Mexique, son règne ne durera pas un an. Il est renversé le 19 mars 1823.

Le 4 octobre 1824 le Mexique se dote d'une constitution, la République est née, son premier président est Guadalupe Victoria. Il dirigera le pays pendant 5 ans, ensuite coup d'État et contre coup se succèdent à un rythme effréné, trois présidents en 1829. Il faut attendre Anastasio Bustamante en 1830 pour qu'un semblant de calme se fasse jour, il dirigera le pays jusqu'en 1832. Ensuite les luttes de pouvoir reprennent.

Durant l’automne 1835, le Texas, État de la république fédérale du Mexique, se révolte contre la dictature du président mexicain Antonio López de Santa Anna (siège de Fort-Alamo, 6 mars 1836) et proclame, en mars 1836, la « République indépendante du Texas ».

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